En France et dans le monde, les pouvoirs publics ont bien saisi l’ampleur du chantier de la modernisation des pratiques de gouvernance. Ses objectifs sont notamment de prévenir les cyberattaques tout en optimisant les investissements et le financement des services publics. Cette transformation digitale profonde part de l’humain et des usages.
Si la transformation digitale du secteur public est devenue une nécessité par la force des choses, elle implique un certain nombre de contraintes aussi bien techniques, économiques qu’humaines. Dans ce sens, le nombre d’acteurs en présence que l’équation se doit de considérer constitue l’enjeu le plus essentiel. Objectif pour les pouvoirs publics : mettre en place des solutions innovantes pérennes. D’une part, il s’agit de répondre aux exigences de mobilité, de sécurité et de souveraineté des données. D’autre part, aux besoins d’optimisation des procédures et du travail des agents, des fonctionnaires, des parlementaires et de tout autre représentant de l’État. Ainsi qu’aux besoins d’optimisation des services publics auxquels les administrés ont accès.
Voilà pourquoi la digitalisation des données de toutes les instances publiques dépasse la seule réponse logicielle. Quels sont les leviers à la disposition des ministères, du Parlement, des administrations et de l’État pour se prémunir des cyberattaques ? Et ce, tout en respectant le Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD) et les autres législations européennes ? Quels sont les impacts économiques des investissements mis en œuvre pour la modernisation des pratiques de gouvernance ? Quels moyens existent pour impliquer chaque représentant étatique dans le processus de dématérialisation des instances ? Puis favoriser son instauration à l’échelle nationale ?
Cybersécurité : un leitmotiv qui s’anticipe
“La sécurité informatique des pouvoirs publics constitue un enjeu majeur pour la protection de nos démocraties”. Tels sont les mots du sénateur Jérôme Bascher introduisant son rapport publié le 22 octobre 2019 sur la sécurité informatique des institutions françaises. On y apprend notamment que le Sénat a enregistré en 2018 deux à trois cyberattaques par semaine. Et intercepté près de 31 000 contenus à risque. Au-delà du constat, les chiffres interrogent. Et plus particulièrement sur deux points. Le premier concerne les pratiques informatiques des parlementaires. Le second, leur dépendance aux technologies conçues par les entreprises high-tech étrangères, et surtout, aux applications des GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft).
L’Agence Nationale de la Sécurité des Systèmes d’Information (ANSSI) peut agir efficacement quant à la sécurité des systèmes du parc informatique du Sénat. En d’autres termes, celui dont il dispose en propre. En revanche, la liberté pour chaque parlementaire d’acquérir son propre matériel informatique entraîne une multiplication du nombre d’appareils (ordinateurs, tablettes, smartphones) et d’applications connectées. Qui elle-même engendre une extension du nombre de cyberattaques potentielles. Dans ce contexte, la digitalisation des pratiques de gouvernance dans le secteur public engage une véritable stratégie, pensée en amont de toute disposition. Non seulement pour préserver les données confidentielles collectées, stockées et échangées à tous les échelons des institutions. Mais également pour anticiper les coûts élevés de la mise en place d’une protection dans l’urgence. Comme c’est le cas suite à une cyberattaque d’envergure ou à un manque de concertation des pouvoirs publics avec leurs agents. Et ce, avant l’initiation d’un programme de transformation digitale quel qu’il soit.
Pouvoirs publics : une digitalisation avant tout participative
En France et dans le monde, les pouvoirs publics ont bien saisi l’ampleur du chantier de la modernisation des pratiques de gouvernance. Au-delà de ses aspects relatifs à la cybersécurité, ils ont également et précisément évalué les impacts économiques potentiels que leur transformation digitale pourrait avoir sur leur activité. En outre, le Ministère de l’Action et des Comptes Publics vise l’objectif zéro papier d’ici 2022 pour toutes les administrations publiques. Concrètement, il estime à 700 millions d’euros les économies engendrées par la seule facturation électronique en 2020.
D’autres économies potentielles se dissimulent dans l’approche adoptée par les pouvoirs publics pour initier puis diffuser à l’échelle nationale la transformation digitale des processus de gouvernance, d’organisation, de gestion et de relation avec les administrés. Cette approche s’oppose aux démarches contre-productives partant des technologies existantes. En réalité, celle-ci est inédite. Elle part des besoins des agents et des usages de terrain pour concevoir de véritables programmes collaboratifs. Ainsi, la digitalisation des pratiques obtiendrait l’adhésion de toutes les composantes administratives. Encore faut-il qu’une solution puisse soutenir et accompagner les échanges permanents entre elles. Et ce, en assurant la traçabilité des informations partagées. Tout autant que leur confidentialité, face notamment à la législation intrusive de pays tiers. À l’instar des États-Unis via le Cloud Act.
Le partenaire des pouvoirs publics français qui se digitalisent
Si DiliTrust Exec est la solution digitale la plus appropriée pour aider à l’amélioration des pratiques de gouvernance dans le secteur public, c’est d’abord parce qu’elle répond à un triple objectif. D’une part, elle engage les agents de l’État sur le terrain. D’autre part, elle favorise la concrétisation de nouvelles méthodes opérationnelles et managériales. Enfin, elle participe à l’émergence de l’innovation au sein des pouvoirs publics. Y compris au niveau des schémas décisionnels.
DiliTrust Exec est tout à la fois un portail et une plateforme digitale simple et intuitive qui répond aux plus hauts standards internationaux de sécurité de l’information. Et ce, grâce à sa certification ISO 27001. De plus, la solution garantit la souveraineté des données et leur sécurité conformément au cadre légal français et européen. Elle appuie les efforts des pouvoirs publics dans leur stratégie RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises). Notamment en matière de développement durable. Pensée “mobile first”, la solution DiliTrust Exec est accessible sur PC, tablette et smartphone. Partout, en permanence. Elle facilite les interactions entre tous les administrateurs, les experts, les parlementaires et les agents des différentes instances publiques. Tout comme la prise de décision. Finalement, elle est 100% française et RGPD compatible. De fait, elle n’est pas soumise à la législation américaine.